29/11/2012 11:04
L’assassin avait encoreà la main le couteau dont il venait de frapper MlleStangerson, il en frappa le garde au cœur, et le garde enest mort. » Cette explication si simple parut d’autant plusplausible que, déjà, beaucoup de ceux quis’intéressaient aux mystères du Glandier l’avaienttrouvée. Un...
29/11/2012 11:03
L’éminent avocat ne parvintqu’à convaincre tout à fait ceux qui connaissaient M.Darzac, mais les autres restèrent hésitants. Il y eut unesuspension d’audience, puis le défilé des témoinscommença et Rouletabille n’arrivait toujours point.Chaque fois qu’une porte s’ouvrait, tous les yeuxallaient à...
27/11/2012 11:56
ou du moins mon cerveau sait. alors mes yeux verront. – S’il ne s’agit que de le voir et de le laisser échapper. pourquoi nous être armés ? – Parce que, mon cher, si l’homme de la chambrejaune et de la galerie inexp licable sait que je sais, il est capable de tout ! Alors, il faudra nous...
27/11/2012 11:52
Moi, jele laisserai partir après avoir vu sa figure. C’est tout cequ’il me faut : voir sa figure. Je saurai bien m’arrangerensuite pour qu’il soit mort pour Mlle Stangerson,même s’il reste vivant. Si je le prends vivant, MlleStangerson et M. Robert Darzac ne me le pardonnerontpeutêtre jamais ! Et...
22/11/2012 09:49
Il n’a facilité mon enquête que pourdeux raisons : d’abord parce que je l ’y ai forcé ; ensuite,pour mieux veiller sur elle. Je suis dans la chambre. dans sa chambre. Je laregarde, elle. et je regarde aussi la place où était lalettre tout à l’heure. Mlle Stangerson s’est emparée dela lettre ;...
22/11/2012 09:42
Son père laprend dans ses bras, l’embrasse avec passion, semble lareconquérir une fois de plus, puisqu’une fois de pluselle eût pu, pour lui, être perdue ! Il n’ose l ’interroger.Il l’entraîne dans sa chambre où nous les suivons. Car,enfin, il faut savoir !. La porte du boudoir estouverte. Les...
22/11/2012 09:38
Il n’a pu passer àtravers nos corps !. J’avoue que, dans le moment, je fus anéanti. Car,enfin, il faisait clair dans la galerie, et dans cette galerieil n’y avait ni trappe, ni porte secrète dans les murs, nirien où l’on pût se cacher. Nous remuâmes les fauteuilset soulevâmes les tableaux. Rien !...